Qui sommes-nous ?
Vivre Montpellier Métropole, une association pour le « mieux vivre » à Montpellier et sa Métropole
Enquêter, étudier, raconter, relayer, permettre la concertation, l’association « Vivre Montpellier Métropole » a été créée dans le but de défendre le centre-ville de Montpellier.
L’association Vivre Montpellier Métropole a été créée afin d’engager une véritable concertation avec tous les habitants de Montpellier et sa Métropole sur les grands projets en cours et à venir. Pour mieux connaître le quotidien des administrés nous avons décidé de constituer une équipe d’enquêteurs, qui réalisent des investigations sur plusieurs sujets en lien avec la Métropole. En plus de ces enquêtes, des études chiffrées sont commandés par nos soins à des instituts indépendants. Pour finir, nous souhaitons être acteur de la métropole, et donc mener des actions concrètes. Le but : préserver les fonctions d’un centre-ville dynamique qui fonctionne en parfaite synergie avec les autres communes de la Métropole. L’association Vivre Montpellier Métropole travaillera notamment sur des sujets aussi essentiels, tels que l’emploi, l’implantation d’entreprises, l’urbanisme, la mobilité et le stationnement.
Une démarche positive, avec une participation à la vie publique et à tous les projets engageant l’avenir de la Métropole Montpellier Méditerranée.
Comme le souhaite le président de l’association, notre action se fera avec les forces vives de la ville et du monde économique, avec le souhait de mobiliser les habitants pour une véritable concertation la plus large possible.
Pourquoi une concertation ?
80% des habitants de la métropole ne sont pas au courant des enquêtes publiques lancées sur les grands projets de la métropole. Une « concertation exemplaire » a fait partie des grandes promesses du maire Mickaël Delafosse. Or les résultats d’une première enquête de notre association indiquent que les habitants ignorent les projets en cours alors qu’ils constatent déjà des changements majeurs dans leur vie de tous les jours, par exemple une circulation automobile de plus en plus difficile. Les décisions ne peuvent pas se prendre brutalement sans l’acceptation de la population et des acteurs économiques. Il ne s’agit en aucun cas de s’opposer à la transition écologique, elle est indispensable et nécessaire.
Mais la politique menée, doit être conduite par étapes et en toute transparence auprès de ceux qui vivent et font vivre Montpellier et sa Métropole. Les avis des autres villes de la Métropole ne sont pas pris en compte. Nous demandons donc la mise en œuvre de la promesse faite par la municipalité : concerter les habitants de Montpellier et sa Métropole, dont Mickaël Delafosse est également le Président, ainsi que les acteurs économiques et sociaux du territoire.
La totalité des habitants devraient être informés des décisions à prendre alors qu’aujourd’hui ils ne sont qu’environ 20% à l’être. C’est par une plus large information que nous pourrons vraiment parler de consultation transparente et sincère.
En effet, seulement 356 habitants de la Métropole montpellieraine ont répondu à la concertation sur le Stade Louis Nicollin soit 0.007% de la population concernée1 et seul 0.0012% (363 réponses) des habitants de Montpellier ont répondu à la consultation au sujet de la place de la Comédie. Trop peu d’informations circulent, c’est pourquoi il est indispensable de renforcer la communication avec notamment la diffusion auprès de tous les habitants d’un document exposant chaque projet afin qu’ils puissent se prononcer par des moyens dont la neutralité est garantie. Une veille permanente de la concertation pour tous les projets de la Métropole.
En créant un observatoire de la concertation pour l’agglomération, Vivre Montpellier Métropole suivra tous les projets en cours pour informer les métropolitains et les inciter à répondre aux consultations organisées. L’association sera en appui pour faciliter une plus large participation des citoyens sur tous les projets. L’intelligence collective permettra à notre Métropole de réussir sa transition écologique dans l’esprit d’un développement durable. Pour notre association, la concertation est la seule solution pour créer les conditions d’un véritable consensus sur les grands projets. Garantir la prise en compte de l’avis des habitants afin de stopper la politique actuelle du fait accompli (fermeture de la voie rapide, mise en place des pistes cyclables sur les voies de circulation, instauration de zones 30 …).
L’association Vivre Montpellier Métropole œuvre pour que soit mise en place une concertation avec l’ensemble des citoyens et acteurs économiques de Montpelier et sa Métropole avant de mettre en place tout nouveau projet. Aujourd’hui de nombreuses critiques s’élèvent de toutes parts en l’absence de véritables consultations, alors que l’avenir économique et social de Montpellier et sa Métropole est en jeu.
Habitants de Montpellier et de sa Métropole, rejoignez-nous pour faire changer les choses et obtenir la mise en place d’une véritable concertation transparente et sincère sur les projets qui nous concernent
Président de l’association Vivre Montpellier Métropole
Michel BADIE-CASSAGNET
Un fervent défenseur du centre-ville de Montpellier
La position de Michel Badie-Cassagnet est claire : « le centre-ville et en particulier l’écusson est emblématique ici, avec cette architecture magnifique… on se balade à Montpellier, dans un cœur de ville animé, avec des commerces des habitants et il faut que ça continue, je pense qu’il est essentiel de se battre pour maintenir le centre de Montpellier vivant, sinon, on risque de faire de Montpellier une ville musée ».
Arrivé à Montpellier en 1973, Michel Badie-Cassagnet a suivi la naissance et le développement de la métropole de Montpellier « Quand je suis arrivé ici, Montpellier était considéré comme un El Dorado, une ville créatrice d’emploi… qui a su passer du statut de petite ville de province à véritable métropole d’ampleur internationale ».
La carrière de Michel Badie-Cassagnet a été toute entière consacrée au dynamisme économique du centre-ville de Montpellier : il a travaillé pour SOCRI à la création et au développement du premier centre commercial en centre-ville de France, le Polygone « ça été une véritable locomotive qui a permis de garder l’attractivité des commerces de centre-ville ». En s’engageant dans cette lutte pour la préservation d’un cœur de ville attractif, vivace et dynamique cet héraultais affirme une vision du monde « il est essentiel de faire cohabiter des populations différentes, des plus aisés aux plus modestes, de les faire se rencontrer, la mixité sociale est essentielle pour la bonne santé d’un pays, et l’accès au centre-ville est l’un des moyens de préserver cette mixité, vous imaginez un monde où le centre historique d’une ville qui ne serait habitée et fréquentée que par une population privilégiée ? Je ne veux pas voir une France coupée en deux avec d’une part des personnes aisées qui peuvent se rendre en centre-ville et d’autre part des personnes plus modestes cantonnées à la périphérie ».
Son parcours dans la vie associative a commencé en 1998 avec la FADUC (Fédération des Associations pour la Défense des Usagers et des Consommateurs du centre-ville et du grand Montpellier) dont il a été le vice-président. Le combat mené à l’époque : contester l’implantation du centre commercial Odysseum, « concurrent surdimensionné des commerces de centre-ville ».
Il obtiendra également avec la FADUC l’abandon du projet ODE à la mer qui menaçait également l’équilibre commercial avec le centre-ville. Il poursuivra ce combat à partir de 2002 via l’association Vivre à Montpellier Autrement, dont il a été président.
Fidèle à lui-même, il devient en 2021 président de l’association Vivre Montpellier Métropole, toujours avec ce même combat « retrouver et préserver la prospérité du centre-ville de Montpellier en retrouvant un juste équilibre avec le tissu commercial de la métropole ».
